Vos idées d’articles

Chic une nouvelle page ! Celle où vous allez pouvoir proposer des idées d’articles dans les commentaires.

Je ne garantie rien quant à la réalisation ou quant à la date de parution, mais ça ne coûte rien de proposer.

J’ai déjà sous le coude :

l’égoïsme

La projection

la mort

A vos idées !

668 réflexions sur “Vos idées d’articles

  1. Vergi, je viens de relire ton article sur le clivage du sujet…et tu mets « il existe également un clivage de l objet »… penses tu que cela pourrais faire l objet d1 article justement ? Je pensais que les 2 étaient (forcément!?) associés…? Merci

    J’aime

  2. Merci. Pour en revenir aux com sur le clivage du sujet…j ai cru comprendre que les symptômes dits dissociatifs (depersonnalisation,derealisation) ne sont pas une dissociation à proprement parler. Pour ma part je vois ça plus comme un mécanisme de défense (au passage: chiant!) qui me fait me » déconnecter » (c est très désagréable a vivre…dans ces moments là,j’suis completement « a l ouest » avec de grosses difficultés de concentration,…etc. Envie de me faire mal pour me « remettre les idées en place,les yeux en face des trous » comme je dis!lol,). Ces symptômes peuvent ils se rencontrer chez « tout le monde »?… chez une personne clivée ou pas nécessairement? Chez les dépressifs?… ou seulement chez les personnes ayant eu des traumatismes? Ou pas nécessairement non plus…

    J’aime

    1. Toute dissociation, même schizophrénique, est un mécanisme de défense. Le névrosé en sort, pas le psychotique. Ces mécanismes ne sont utilisés que chez les personnes ayant vécu des traumas (plus ou moins graves, la gravité n’étant quantifiable du fait du type de trauma, mais de la façon dont il a été reçu par la personne, ainsi un même événement peut être traumatique pour l’un et pas pour l’autre)

      J’aime

  3. Un article sur l’histoire d’amour qui liait Mireille Darc et Alain Delon? peut-on vivre sa vie en ayant encore autant d’amour pour son ex? je suis gênée pour son mari à la lecture des articles publiés depuis le décès de Mireille Darc. Mais son mari ne semble pas du tout gêné lui. Alors je me demande s’il a raison ou s’il est  »idiot » (en tout cas dans cette histoire)? ou bien est ce que du moment qu’on est heureux comme ça tout va bien? Est ce que tout est subjectif et qu’il ne peut y avoir aucune position objective dans tout ça? je serais curieuse de connaitre l’avis de Vergi!

    J’aime

  4. Bonjour, alors je me demandais si vous pouviez faire un article sur les personnalités de type asperger : est-ce que ces personnes peuvent faire une thérapie sur des problématiques qui ne seraient pas liées directement au syndrome d’Asperger. Est- ce que le fait de ne pas comprendre bien des paroles implicites ou du second degré peut empêcher la réussite d’une thérapie ?
    Je ne sais pas si ma question est claire !

    J’aime

    1. Non pas vraiment..mais il y a un article sur le blog sur les aspies
      Ensuite il n y a pas de second degrè en psychothèrapie et si il y en a cela èmane du patient et c est donc le psy qui l entend et l interprète donc pas de souci de ce côte.
      Ensuite un aspie peur faire une thérapie sur ses problèmatiques infantiles et c est même nécessaire car souvent elles expliquent la mise en place du fonctionnement Asperger.

      J’aime

      1. Bonjour, j’ai beaucoup refléchi sur votre réponse . Votre phrase sur  » La mise en place du fonctionnement Asperger  » laisse penser qu’on devient Asperger. Comment cela peut-il s’expliquer ?
        Et est-ce que avec la nouvelle classification du DSM tout le monde ne le serait pas un peu ?

        Ensuite le problème, c’est le brouillard émotionnel dans lequel on se trouve, qui complique les relations avec les autres et encore plus avec un psy : on se retrouve dans une situation inconnue et en plus il n’y a personne pour nous montrer ce qu’il faut faire… Je trouve que c’est très difficile de sortir du factuel. Et l’autre difficulté c’est par exemple de comprendre si le psy reflechit ou bien est en colère (c’est un peu la même tête avec les sourcils froncés) donc au final je me dis que c’est son problème je n’essaye pas d’aller plus loin. Mais quand je me renseigne je vois bien qu’il faut projeter qq chose sur le psy. Est-ce que les asperger peuvent arriver à projeter qq chose sur un psy ?
        Merci si vous avez le temps de répondre à ces questions !

        J’aime

        1. Bonne question ! On sait que l autisme eqt multifactoriel donc l approche génétique ne suffit pas. Je constate que chea les Asperger -et je ne m appuie que sur mes patients- ils sont issus de famille pas mal dysfonctionnelles avec un mode de communication souvent paradoxale. Aloes devenir Asperger est il le résultat de cette incapacité à choisir entre ce qui est dit et ce qui est sous entendu ? Une fuite pour ne plus avoir à choisir ?
          La psychothérapie fait souvent office d apprentissage du « mode d emploi » social qui aurait du être enseigné par les parents. Il s agit ici aussi.de confronter ce qui est vécu et interprêter a la lumière de son vécu infantile car l Asperger tend à régler ses provlèmatiques affectives dans ses relations.
          Le transfert n est pas le même en effet, il reste mais au niveau du parent détenant le mode d emploi donc quelque part du « bon parent ».
          Quant a ta relation au psy pourquoi chercher a savoir si il réfléchit ou est en colère parce que 1. Pourquoi serait il en colère ? et 2. si c est le cas c est en effet son ressenti. L erreur est de ne pas aller plus loin en lui posant la question de ce qu il exprime. D autant qu il y a des diffèrences entre exprimer la colère et la reflexion, le non verbal ne se limite pas aux sourcils sinon on serait tous paumés ! Lol

          Aimé par 1 personne

        2. Bonjour,

          Merci pour votre réponse que je trouve très pertinente et qui m’éclaire sur bien des points. En particulier sur le fait qu’on attend un mode d’emploi du psy !! C’est bizarre quand on y pense.

          J’aime

  5. l’alcool et les idées noires !
    ou l’alcool pour oublier …
    l’alcool pour se donner du courage !
    soit ….

    J’aime

  6. Ça m’intéresse aussi!

    Et un article sur la thérapie de groupe? Enjeux? Différences avec l’individuel.

    Et as-tu déjà écrit un article sur le faux-self?Quelles manifestations ? Jusqu’où?

    J’aime

  7. Le déni : comment ça fonctionne, par quel mécanisme une personne l’utilise? Est ce volontaire ou inconscient ?
    Comment ou pourquoi savoir sans savoir, comment est ce d’ailleurs possible? Et quelle conséquence pour la personne et pour l’entourage?
    Est ce une défense uniquement psychotique ou névrotique?
    Ppurrais tu éclairer ce fonctionnement ?

    J’aime

  8. Bonjour Vergi :-),
    Je me demandais si un article sur les solutions, ce qui peut combler notre vie quand ça va mieux, donc ce qui peut remplacer le vide, la dépression…Ect. Je pensais aux exemples de vos ex-patients. J’ai eu cette idée car vous dîtes souvent dans vos articles que nous ne sommes pas « si singuliers » que cela et que finalement on retrouve les mêmes comportements selon ce qu’on a subit …(bon c’est très mal dit comme ça, j’ai un peu de mal à m’exprimer ce matin).
    Voilà, ce n’est pas pour trouver une solution pour moi bien sûr, mais je me dis que ce serait bien pour nous qui sommes en pleines quêtes de ce qui peut nous sécuriser, faire du bien, de lire les vécus des autres à ce niveau. Ca peut nous apprendre un peu plus sur nous même?
    Très bonne journée 😉

    J’aime

    1. Ah mais non ce serait trop facile. Ce qui vient remplir les vides est individuel et chacun doit réfléchir a trouver ses solutions sans s inspirer des autres, ce serait faire preuve d un manque de confiance en soi qui nécessite de continuer sa therapie ! 😉

      J’aime

  9. Salut,

    Un article sur ton parcours pour devenir psy. m’intéresserait bien si ce n’est pas déjà fait ; )

    J’aime

    1. Non pas spécifiquement, parce que c’est une notion qu’on retrouve dans beaucoup de situations, lors de la séparation des parents classiquement, mais aussi lors de disputes, de choix, d’orientation… En effet c’est intéressant. J’y pense.

      J’aime

  10. Bonjour,
    et bonne année vu la date 😉

    j’ai essayé de rechercher un article sur la fin de thérapie et je n’ai pas trouvé.
    Comment sait-on que la thérapie est finie ?
    Ma psy m’a dit que je n’avais plus besoin d’aller la voir, mais que ce n’était pas le tout qu’elle en soit convaincue, qu’il fallait que je le sois aussi… et bizarrement, ça me génère pleins de questions…

    J’aime

    1. Il n’y a jamais de fin de psychothérapie sur le principe, mais il y a un moment où en effet la notion de suivi (avec rythme hebdo par ex.) n’est plus nécessaire. Le patient est comme l’ado qui doit se séparer de ses parents, y a un moment il faut quitter le nid.

      J’aime

  11. Bonjour,

    Je viens de lire un bref article sur la parentification. Je crois qu’il en avait déjà été question sur le Blog (??) Mais pourrais-tu (ré)expliquer le concept surtout en quoi cela à des effets si néfastes sur L’enfant devenu adulte.
    Merci d’avance,

    Kirikou

    J’aime

  12. Le sujet a déjà été traité sous différentes formes, mais je propose quand même. Le transfert, du trop au pas assez, y a t il des raisons ds les vécus des gens qui se cachent derrière le transfert, chez les uns comme les autres ?

    Et pis je me demandais, même si la question doit être idiote j’avoue que j’ai du mal à comprendre, mais c’est tjs lié à la relation aux parents le transfert ? Si comme moi on est pas hyper accroché c’est forcément qu’on était comme ca enfant ?

    J’aime

  13. Bonjour,
    Les phobies d’impulsion? J’en ai eu lorsque j’ai pris conscience des dysfonctionnements de ma famille et de certains comportements finalement pas très normaux (allez savoir comment ça m’a pris…), le tout sur fond de post partum. On croit devenir fou, c’est si paradoxal et incompréhensible…

    J’aime

  14. Bonsoir Vergi;
    serait il possible s il vous plait
    d aborder le thème de la résistance /autosabotage et le refus d être heureux.
    merciiii
    très belle soirée

    J’aime

  15. Bonjour,
    Peut être un article sur le jeux psychologique du triangle de karpman ? Je ne comprend pas trop ce principe. Ça a l’air intéressant à comprendre pour soi.
    Merci.

    J’aime

      1. Le concept est utilisé par certains thérapeutes,en analyse transactionnelle notamment. Peut-être pas dans ton cadre théorique… Il permet de comprendre certaines interactions entre individus, notamment quand elle sont conflictuelles ou répétitives et délétères.

        J’ai pu analyser certaines situations problèmatiques par le prisme de ce concept, et au quotidien c’est beaucoup plus apaisé ; )

        J’aime

        1. Ah ça non, car l AT n est pas vraiment freudienne ou lacanienne… franchement rien de bien nouveau… la relation « parent enfant » c est du transfert et la relation « bourreau victime » c est du sado masochisme (avec toutes les variantes), bref c est de la simplification (c est bien) appliquée à l instant t mais trop simplifiée justement car cela n envisage pas des notions de « continuum » d une position à l autre ni les possibilités de manipulations possibles. Ca t aide tant mieux (on forme plein de cadres ainsi qui ensuite croient avoir tout compris et s installent comme coach ou thèrapeutes) mais ça ne remplace pas une psychothérapie pour se comprendre et sortir de ces jeux relationnels.
          (Ca me fait penser à.ces patients qui ont fait de la PNL -horreur- et qui se croient obligés de s aligner sur la posture du psy y perdant toute spontanéité, quel temps ils perdent !)

          J’aime

      1. 2 L ? Désolée je n’avais pas vu ta réponse plus tôt …
        Ben je sais pas trop en fait lol . Est-ce que le fait de voler ou d’être volé à des conséquences psychologiques ( genre le fait d’avoir franchi une barrière morale , ou le fait de que quelqu’un nous ai consciemment pris quelquechose nous appartenant ) Peut-on être addict au vol ? Dans ce cas à quoi est on addict ? Au stress ?. Après j’imagine que ça dépend aussi de la culture et de l’entourage ( il me semble que la majorité des sociétés réprouvent le vol entre membre d’une communauté , à supposer qu’il ai des notions de possession individuelle d’objet, mais j’avais lu que certains peuple valorisaient énormément le fait de voler aux peuples rivaux ; et je connait des milieux ou voler est considéré comme un acte politique à condition qu’il ne vise pas l’individu ) . Le vol est-il toujours un acte antisocial ? Je crois que je m’égare un peu en fait 🙂

        J’aime

    1. Je voulais demander si vous connaissez la thérapie sensorimotrice développé par Pat Ogden? Il y a très peu d’explication sur le net je trouve. Et très peu de psy la pratique. Ils doivent aller au État unis pour se former. Et paraît que c’est une grande avancée ds le traitement des traumatismes. Ça a l’air intéressant.

      Et je trouve aussi des choses sur la dissociation structurelle de la personnalité et les trauma de Nijenhuis, van der Hart, Steele, Desoir & Matthess. Je n’arrive pas à mettre un lien. Je galere avec mon portable. C’est ça les parties avec les enfants intérieurs?
      Merci.

      J’aime

      1. Pas besoin de se former aux US pour pratiquer ce type de thérapie… en fait c est peu pratoqué parce que les patients abusés ne se laissent pas approcher et uls n approchent personne même le psy du fait 1. De la peur des abus et 2. De limites corporelles floues. Ce type de patients passent beaucoup par le corporel naturellement mais, c est vrai, pour se protéger aujourd hui et pas dans le passé. Le principe est intéressant et connu : réintègrer le trauma dans le corps, c est ce qu on fait d ailleurs en EMDR, car corps et psychisme sont indissociables. Cette technoque est elle.plus efficace ? A voir mais je pense plus limitée en terme de « public ».

        J’aime

  16. Bonjour Vergi, j’ai vu que vous aimiez commenter les films et les livres. Alors, je viens vous conseiller d’aller voir « Le secret des marrowbone » qui est un thriller horreur mais plus psychologique très émouvant….si ce n’est déjà fait. Je pense que vous aimeriez bien 🙂 et peut-être pas pourquoi pas en faire un article?
    Cordialement

    J’aime

  17. Bonjour Vergi, pourquoi pas un article sur l expression de ses émotions, quand on est envahie et que rien ne sort.. je suis une cocotte minute je crie intérieurement mais je reste de marbre extérieurement.. Heureusement peut-être pour mon entourage..

    J’aime

    1. On voit toute la turpitude de la perverse en action. Quand je fais un article sur le chocolat chaque année tu me dis que c’est redondant et si je n’en fais pas tu t’en inquiètes… Dans tous les cas je me retrouve chocolat ! 😉
      Joyeuses Pâques à toi et à tous (et j’avoue que j’ai oublié que c’était aujourd’hui !)

      Aimé par 1 personne

  18. bonjour
    je viens de lire quelques articles sur le stalking et les stalker, qu’en pensez-vous? très belle soirée

    J’aime

    1. Le stalker est un harceleur de rue. Il peut étre obsessionnel (névrose) et veut approcher au plus près le vécu de la personne voire faire partie de sa vie ou il lui en veut et veut la détruire (psychose) et la personne suivie devient une proie.

      J’aime

  19. merci pour cette précision; j’ai comme l’impression d’avoir fait ça avec une personne au travail cependant je n’ai pas suivi cette personne et ne veut pas la détruire; mais j’avais très très envie de faire partie de sa vie sans attirance sexuelle cependant; je lui en veux effectivement, comment faire pour me débarrasser de ça?

    J’aime

    1. Les névroses obsessionnelles sont les plus difficiles à démonter car elles se renforcent avec le temps et qu elles reposent sur des idées (ici faire partie de sa vie) qui devient envahissante. L idéal est une psychotherapie avec sèances rapprochées et si c est trop envahissant il faut consulter un psychiatre.

      J’aime

  20. Un article sur l’amnésie traumatique…? Est ce courant? Les causes ? Les conséquences ? Les différences entre le refoulement et l’amnésie traumatique ? C’est un sujet très brûlant sur les réseaux sociaux et pas mal de personnes semblent en être ou en avoir été victime. Entre les victimes et les détracteurs, beaucoup d’opinions divergentes… Merci

    J’aime

        1. Ton com était arrivé dans les spams… Alors en fait il y a un mouvement mené par une nana (que je ne citerai pas) qui a décrété que « l’amnésie traumatique si ça existe la preuve j’en ai souffert et j’en souffre encore ». DE l’autre côté, il y a des praticiens -principalement des psychiatres- (et surtout un qui est pris à partie par la nana citée avant) qui décrète que « l’amnésie traumatique c’est pas automatique et en plus c’est peut être des faux souvenirs ». Donc la nana, qui attaque le psychiatre, dit que les professionnels n’ont rien compris et qu’un pro qui nie l’amnésie traumatique c’est un connard qui empêche les victimes de parler. Et tout ça dans la haine.
          Bon le praticien -que je connais- franchement quand tu veux faire un sondage sérieux c’est pas sur FB que tu vas, surtout que sur FB on trouve tous les radicalismes possibles qui ne savent pas débattre juste être dans l’émotion (surtout la colère et la haine). Bref, ils ne parlent pas de la même chose et les risques de faux souvenirs sont réels même si ils sont faibles. Le pro a bien essayé de leur expliquer calmement mais comme la haine était déchaînée il en a pris plein la tête sans possibilité d’expliquer ou de discuter tout simplement. Bref, c’est parti en « live » et ça n’a rien fait avancer du tout. Ca fait juste passer les victimes pour des harpies intolérantes, ça aide !

          J’aime

  21. Bonjour .
    Je cherche des info sur la procrastination , et plus précisément comment aider un proche qui procrastine .
    Merci .

    J’aime

  22. Hello Vergi !
    Je me demandais si la morphopsychologie était quelque chose de concret ? si les traits d’un visage pouvait déterminer la personnalité ? yeux tombants, lèvres pincées, front bombé…
    merci

    J’aime

    1. Non ça n a jamais fait ses preuves mais il y a peu d études sur le sujet. Par contre le corps indique le type de trauma ou les troubles mentaux, le vécu de chacun s inscrit dans le corps.

      J’aime

  23. Bonjour Vergi,
    Pourquoi est ce qu’on s’attache à nos animaux domestiques ??

    Quel mecanisme empeche de s’exprimer ? (On a l’idee, le vocabulaire un peu, mais l’ensemble ne prend pas forme..) (s’il te plait ne reponds pas « la censure !  » ), je veux dire meme quond on souhaite vraiment exprimer quelque chose mais qu’on a pas …de mots.

    J’aime

  24. Bonsoir Vergi,
    Si l’envie t’en dit tu pourrais nous parler de comment faire la différence entre jeux sexuels entre enfants et légers abus.
    Merci

    J’aime

  25. Bonjour Vergi
    Un article sur le pardon ?
    Est ce que le pardon accordé à l’auteur du traumatisme participe au processus de guérison de la victime ? Et comment ? Merci
    Bon été à tous !

    J’aime

  26. Un petit article sur l’idéalisation? Un mecanisme de defense? Comment cela agit il dans le quotidien? Pourquoi ce mécanisme de défense se met il en place?

    J’aime

  27. Un article sur avons nous besoin d’aimer et d’être aimé et surtout s’aimer soi ? Qu’est ce que cela apporte ou non à la personne? Et si ça apporte quelles peuvent être les conséquences de ce manque d’amour sur soi ? Sur quels mécanisme(s), d’appui le manque d’amour ou le besoin d’amour de soi? Merci 🙂

    J’aime

  28. Bonjour, je viens de voir une de tes réponses dans un commentaire et j’ai lu le mot  » violence indirecte  » j’avais jamais entendu ce terme auparavant! Pourrais tu svp faire une blog sur ça avec des exemples ? Merci !!! 🙂

    J’aime

  29. La théorie des schémas. Ca m a l air de vouloir traiter plus en profondeur que les tcc mais sans etre très analytique.

    J’aime

  30. Bonjour,
    Est-ce que vous pourriez faire un article sur les problemes d’empathie. Quand on n’arrive pas à comprendre ce que les autres ressentent. Mais sans etre insensible pour autant. Par exemple on ne comprend pas que quelqu’un est triste juqu’au moment où on voit qu’il a des larmes qui coulent.
    A ce moment on éprouve de la compassion. Donc on n’est pas insensible.
    Comment peut-on corriger cela ? C’est possible ??

    Merci !

    J’aime

    1. Sur le fond il me semble que c est justifié. Les maltraitances et même les viiolences sexuelles étaient connues. Ca pose le probléme par contre de la dilution des responaabilités. Attaquer l Etat certes. Mais l Etat est une machine lourde composée de milliers de personnes, l idéal serait de pouvoir poursuivre le juge qui n a pas jugé bon de protéger l enfant tput en cherchant à comprendre par quels processus il en est arrivé à faire un tel choix. Maintenant comme je l entendais ailleurs ns vivons ds un système qui veut absolulent maintenir les enfants soit dans leur famille d origine soit avec leur mère ce qui mène à des décisions qui sous couvert de maintenir le lien familial mettent les enfants en danger.

      J’aime

      1. Merci pour ton retour. Vu les antécédents de la mère, ça rend l’histoire encore plus aberrante… après, je me méfie aussi des médias. Vaut-il pas mieux couper le bien familiale plutôt que d’anéantir une vie ? Et laisser l’enfant faire son choix à sa majorité?

        J’aime

  31. Bonjour, je n’ai jamais posté de commentaire mais je lis régulièrement le blog, j’aimerais proposer le syndrome de l’imposteur comme idée d’article. bonne journée.

    J’aime

  32. Bonjour,

    J’aimerais proposer comme idée pour un article :
    La névrose obsessionnelle
    (et à partir de quelle limite la personne peut basculer dans la psychose)

    J’aime

  33. Un article sur la rumeur.
    Son influence sur notre comportement et sur nos pensées, ses enjeux.
    Ses conséquences.Elle est rarement innocente.
    Son public, ses acteurs et ses boucs émissaires.
    Et l’après rumeur. Les grandes rumeurs ne meurent jamais totalement.

    J’aime

  34. Bonjour Vergi,

    – Un post sur « demander de l’aide », savoir demander, ré apprendre à demander de l’aide ou un soutien ?
    – Un post sur la « sidération » pendant l’agression, mais aussi après ? j’ai l’impression que je reproduis ce truc dans des situations de stress plus quotidiennes, de ne plus etre la, incapable de repondre ou de me defendre dans l’instant, cela me prend une force inouie de réagir et toujours un délai?

    J’aime

    1. La notion de sideration m’interroge aussi.
      J’ai beaucoup de mal à supporter quand on me crie dessus, qu’on s’énerve, ou encore quand on m’accuse ou qu’on me reproche qq chose et qu’il n’y a pas de discussion possible, que l’on sent l’autre fermé au dialogue.

      Ex : une fois, une directrice me reprochait qq chose et j’essayais d’argumenter ma position. Très vite j’ai senti qu’en fait elle me demandait pas, elle me disait, m’informait. Je n’arrivais plus à parler, et j’ai fini en larme (et terrifié, je le sentais et c’était tout à fait disproportionné)
      J’ ai essayé d’en parler en sortant du bureau et en pleine phrase… Je marretais, mon cerveau était figé. J’ai pas du tout pu parler.
      J’ai tout de suite penser à ces moment où mon père s’enervait et où on ne pouvait rien faire d’autre que d’attendre que ça s’arrête.
      Cela s’apparente à de la sideration vergiberation ? Ou juste de la gêne ou de l’inquiétude ?

      J’aime

  35. Vu que je suis en plein dedans.

    Boulette médicale (accident chirurgicale, erreur de diagnostic, aléas thérapeutique) comment se reconstruire après et survivre mentalement pendant les phases d’expertises?

    J’aime

    1. Il est evident que tout stress qui impacte regulièrement doit donner lieu à une psychothérapie. La colère, la peur, l épuisement, la non projection ds l avenir, doivent pouvoir être exprimés or chez soi c est souvent impossible et la subjectivite et l emotionnel empêchent à chacun d apporter accompagnement ou discours neutre.

      J’aime

      1. Je me disais aussi qu’il y avait un truc… tout ce que tu décris c’est le ressenti de mes proches colère tristesse peur non projection, incompréhension etc.

        Moi j’en suis déjà plus là.

        J’aime

  36. Je pense depuis longtemps à un article sur le Syndrome Prémenstruel (SPM). J’ai toujours pensé que j’en étais atteinte vu les symptomes que je subis. En faisant des recherches, sur Internet, j’ai trouvé des articles expliquant qu’il existe un Trouble Dysphorique Prémentruel (TDPM) une forme sévère du syndrome prémenstruel (SPM) avec au premier plan des symptômes psychiatriques. Apparemment c’est un trouble recensé dans le DSM, mais je ne sais pas si c’est juste la simple appellation du SPM, qui aurait été catégorisé dans le DSM pour pouvoir le traiter par médicaments. En tout cas, je me demande si certaines formes de déprime, états dépressifs ne seraient pas tout simplement lié à cela. Car pour ma part, je me sens mal des fois pendant 15 jours avant d’avoir mes règles, j’ai des idées noires, plus rien n’a de sens dans la vie, je veux mourir, arrêter ma thérapie, car je ne m’en sortirais jamais, et je suis prête à passer à l’acte. Cela m’est arrivée avec une intense envie de mettre en acte cela, l’année dernière. Je me suis rendue compte moi-même de ça, car ça revient régulièrement et à chaque fois je me rends compte que cela se passe avant mes régles, voir également les jours qui suivent et ensuite cela s’en va. Je remets tout en question, je me dis que je n’ai pas ma place sur cette terre, plus de me battre. Et là au moment, ou j’écris ce commentaire, je suis dans le 1er jour de mes règles, et je ne me sens pas bien. Est ce qu’il y a des solutions à cela ? et si oui lesquelles ?

    J’aime

      1. Merci.
        Je n’ai pas de gynécologue.
        J’y suis allée une fois dans ma vie, à cause d’irritations / brûlures pour faire un point, et cela ne m’a rien apporté. Elle avait du faire un frottis, en même temps. Je ne supporte pas qu’on me touche en général et alors en intime, c’est pour moi impensable. Ca doit faire 15 ans que j’avais été voir cette gynéco, et c’est la seule fois de ma vie.

        J’aime

        1. Il n y a aucune 9bligation a une exploration vaginale. Si tu dis non le gyneco ne le fera pas. Tu peux passer aussi par un generaliste, mais si tu ne consultes pas tu ne peux pas être soignée et donc tes symptômes persisteront.

          J’aime

        2. J’en ai parlé à ma psychologue, il y a déjà quelques séances de cela, en lui évoquant le SPM, et que j’étais souvent mal. Elle pense que cela peut être considéré, mais que ce n’est pas la raison principale de mon mal-être. Elle m’a donné le nom d’une sage femme, et comme toi elle m’a dit que je n’étais pas obligée d’être examinée. Je n’ai pas encore réussi à téléphoner pour prendre un rdv.

          J’aime

  37. Salut Vergi,
    Je m’intéresse beaucoup aux mémoires transgenerationnelles et je suis tombé sur le sujet de l’épigénétique. De ce que j’ai pu lire et compris, des études s’intéressent sur la possibilité de transmission de traumatismes vécus par nos ancêtres avant même notre naissance. On sait que l’on est constitué de gènes de nos parents et que ces gènes sont influencés par notre environnement direct mais selon des recherches ça pourrait aller encore plus loin. On pourrait avoir en héritage des symptômes post traumatique d’événements marquants de chez nos grands parents par exemple sans même avoir connaissance soi-même de ce vécu. Des scientifiques se penchent sur le sujet et s’ils arrivent à démontrer un lien possible, est ce que ça changerait la donne de l’approche psychologique au niveau du travail thérapeutique ?

    J’aime

    1. Flymoon tu as un train de retard. C est démontrè. Il y a un article sur le sujet dans le blog. Ca ne change pas la donne, car si c est auj demontre scientifiquement les psys le savaient depuis longtemps.. Perso j essaie que les patients cherchent à savoir dans leur famillr ce qui influr. Après il y a des evidences comme par ex un enfant mort ou un viol dont la mémoire se transmet aussi par les comportements familiaux.

      J’aime

      1. Oui et je pense que je n’ai pas qu’un seul train de retard malheureusement…
        Je découvre ces avancées. En fait au cours de ma thérapie j’ai fait des découvertes, suites à des investigations de ma part, sur un évènement important produit il y a très longtemps au niveau de mes grands parents, et en séance j’en faisait part de mes recherches et trouvailles car je pensais que c’était important pour mes avancées personnelles de comprendre ce qu’il s’est passé, la psychologue ne paraissait pas y donner trop d’importance, ne m’encouragement à « creuser » le sujet et de plus s’attacher à s’attacher à l’avenir. Et pourtant comment avancer quand il y a un secret de famille et un fait marquant qui a certainement « dévié » une histoire familiale ?

        J’aime

  38. Bonjour Madame,
    merci pour votre site très intéressant.
    Ne pourriez-vous pas faire un article sur les reproches que l’on peut se faire à soi-même ou aux autres ?
    En ce qui me concerne, je rumine souvent des reproches contre moi-même (pour des erreurs que j’ai faites)
    ou des reproches contre les autres (car j’ai l’impression qu’ils ne m’ont pas aidé ou qu’ils ne m’ont pas bien traité).
    Merci d’avance.
    Clément

    J’aime

  39. Heureux que vous trouviez ce sujet intéressant. Je suis très intéressé de voir ce que vous proposez pour sortir de ces conditionnements car, bien que faisant une thérapie avec un psy(chiatre et psychanalyste) très pertinent avec lequel j’évoque souvent le sujet, je n’y vois pas clair.

    J’aime

    1. Je ne propose rien, je discute. Les proposition s’obtiennent via son psychologue par une réflexion personnelle. Je déconseille une analyse dans ce cas, mais bien un travail avec un psychologue. Chacun sa spécialité.

      J’aime

  40. Très bien merci. Je pense que l’on qualifie ma thérapie de « thérapie de soutien » car ce thérapeute me prescrit les médicaments que je prends au long cours.

    J’aime

    1. Alors ne mélangeons pas tout… un psychiatre c est un medecin, ça prescrit des médocs pour des pathologies mebtales, un psychanalyste se penche sur des patients qui vont plutôt bien mais qui veulent approfondir leur connaissance de Soi et le psychologue ne prescrit rien mais travaille sur les troubles des comportements. Un therapeute n est en rien un psychotherapeute. Et une psychothérapie de soutien se réalise avec un psychologue.

      J’aime

  41. Pour être clair, je vois un psychiatre qui me garde une demi-heure chaque semaine donc il ne fait pas que de me prescrire des médocs … D’ailleurs il me fait une ordonnance une fois tous les 3 mois. En une demi-heure, j’ai le temps de lui parler … Je l’appelais thérapeute parce que je considère que je fais une thérapie avec lui. Je pense que les psychiatres ne sont pas uniquement des remplisseurs d’ordonnance et heureusement !

    J’aime

  42. Les douleurs psychosomatiques.
    Ça existe pour de vrai mais dans quels cas? Comment ça se règle? Comment savoir si c’est psychosomatique ou une douleur de cause encore non identifiée?
    Parce que « c’est dans votre tête » au revoir petit patient c’est dur à entendre et les gens sont démunis et ça entraîne aussi des fois des gros retards de diagnostics.

    (J’ai la chance d’avoir toujours été crue par les équipes médicales mais c’est pas le cas de tout le monde)

    J’ai entendu en consult 80% ont mal de manière explicable les 20% restant c’est parce qu’ils sont mentalement faibles…

    J’aime

  43. Bonjour

    Si possible j’aimerais bien lire sur ce sujet :

    – Le contre transfert négatif
    – Les faux souvenirs induits par certaines thérapies
    – l’autosabotage de sa thérapie
    – la répétition en thérapie
    – comment on déforme ce qu’on voit ou entend de son psy en thérapie …
    Et l’article 27 du code de déontologie « le psy doit privilégier la rencontre plutôt que toute autre forme de communication » que j’ai pu lire chez ma psychologue.

    Merci

    J’aime

    1. Alors sur le contrr transfert negatif je crois qu il y a un article ici, mais j en parle un peu partout.
      Les faux souvenirs ne sont pas induits en psychotherapie, si c est le cas c est une affaire de « mauvais psy » or ce n est pas lié a la psychothérapie en soi mais bien à la façon dont qq psys dérapent.
      L autosabotage et la répetition ne se font pas que pdt la psychothérapie mais c est un fonctionnement que le patient « colle »partout, ce n est donc pas propre a cette situation
      La 5eme question est interessante.
      Quant au code de deontologie trl qu il est a ce jour il s applique aux psychologues et pas aux psychotherapeutes. Ceci dit c est clair c est l alliance qui est importante, une séance n est pas un lieu de papotage, sauf du côté du patient si il en a envie

      J’aime

  44. Bonjour,
    Après mes fouilles archéologiques sur le blog, il ne me semble pas avoir vu d’article sur les rêves ? 🙂

    Aussi, connaissez-vous la série En analyse? C’est une série que je regarde actuellement (oui les vacances de la psy c’est long!^^) où l’on suit un psy(chologue je crois) avec ses patients, chaque semaine. Je la trouve assez bien faite et on y retrouve des éléments du blog comme le transfert, les cadeaux aux psy, les patients en retard.. Un regard de professionnel dessus peut-être intéressant ! Il y a parfois des comportements dans la série que je trouve étrange (le psy se met parfois à bcp parler de lui ça m’étonne toujours, par exemple) bref, ça peut être intéressant à regarder, pour vous et pour les lecteurs 🙂

    J’aime

  45. J’ai trouvé beaucoup de documents sur la dépendance aux médicaments et des recommandations «attention si vous avez été dépendants (toutes addictions confondus) prévenez votre médecin » le risque de chuter sur autre chose est réel.

    Mais sincèrement j’ai beau le dire je me retrouve quand même sans précautions ni consignes particulière avec des prescriptions de morphiniques et neuroleptique justifié par mon état physique (lésions vertébrales) (que je prend pas tellement j’ai peur, mais la douleur reste destructrice au quotidien).

    Les questions :
    qu’est ce qui se joue dans le cerveau quand on lui redonne un truc qu’il aime? (Parce que pour y être passé deux fois, c’est vraiment le ressenti à la seconde mise en contact (lire les notices avant de gober les prescriptions…)

    Les chirurgiens/anesthésistes sont ils vraiment formés à la prise en charge de la douleur chez les victimes d’addictions? En 21 ans de prise en charge de la douleur jamais aucun avertissement d’aucune sorte…

    Comment lutter/prévenir en tant que patient pour ne pas ressombrer?

    J’aime

    1. Un ancien toxico n apas enormément de choix. Si il retouche à la molécule auquel il etait accro, pas de secret l appetence pour ce produit est immediate. La toxicomanie joue sur 4 facteurs : le comportemental (attraper son cachet, l avaler par ex.), au niveau cérèbral (il prend la place d une molevule sécrétée naturellement), au niveau homéostasique (comme ns fonctionnons à l économie, proposer au cerveau de moins « travailler » pour obtenir une molécule ça lui va bien) et au niveau de la récompense (plaisir et/ou biasse de douleur). Tu comprendras que le patient ne peut agir qur sur peu de choses et principalement sur le comportemental (choisir de moins consommer). Il peut accepter aussi d avoir un peu mal mais le cervrau est malin il finira par envoyer des signaux de douleurs imaginaires juste avec l espoir qu on va lui donner plus de dose.
      Face aux medecins on est ds une phase où ils prennent conscience qu il faut discuter avec les patients, mais ils se demandent encore plus qu avant si il faut tout dire. Ils partent aussi du principe que les patients sont adultes et informès et que donc si on meur donne des morphinimiques ils sont censés savoir que c est addictif.
      Après je constate que les patients passés en sevrage (ils consommaient beaucoup sans aucun effet) régulent mieux leur prise. Ins ont compris qu il fallait mieux souffrir un peu (je sais c est facile à écrire pas à vivre) mais avec une action ressentie des molécules ingérées plutôt que de se lancer ds une quête de zéro souffrance mais avec addiction et hyprr souffrance a la clé. Je crois aussi que chauqe individu a besoin d une fose différente, certains se contentent de toutes petites doses (placebo ?) d autres sont résistants. Le patient doit trouver de lui même ce quu lui convient et ça luibpermet aussi de garder le contrôle.
      Pour les chir et anesthéistes je ne saurais te dire. Mais, je te raconterai sans doute un jour une anecdote perso, qui me fait penser qu ils ne savent pas faire.

      J’aime

      1. Je pense en effet qu’ils ne savant pas ou tout du moins la prise en charge de la douleur prime sur le risque. J’ai refusé les morphiniques en précisant que j’avais déjà eu deux sevrages aux benzodiazepines la première prise de benzodiazepine était couplé à de l’alcool (je prend conscience du carnage en m’interrogeant aujourd’hui sur ma prise en charge de la douleur dans laquelle j’en m’investis enfin. Je me suis réveillée avec une pompe à morphine, complètement défoncée alors que j’étais physiquement et moralement capable d’encaisser le post op.

        Moi je suis en mode bourrin… je vis « à sec » depuis 15 ans contre l’avis médical qui préférait quand même qu’on traite les douleurs neuro et mécaniques, pour le moment c’est de la glace et de l’electrostimulation de la kine, une adaptation au handicap et du conditionnement/ritualisation qui permet d’oublier la douleur ça marche tellement bien que je suis « déconnectée de mon corps ». Je ai enfin entendu et accepté ce constat.

        Donc en effet c’est compliqué en ce moment, j’ai conscience que même 15 ans après le second sevrage cette fragilité est proche sous la surface, mais j’ai aussi besoin de dormir un minimum correctement. Encore 6 mois à tenir avant de rejoindre le centre antidouleurs et envisager une solution non médicamenteuse mais efficace.

        J’aime

        1. Oui la déconnexion du corps… Alors que le but d’une psychothérapie est de relier corps et psychisme…. Maintenant la notion de contrôle est très présente chez toi, c’est compréhensible, mais en même temps le « mode bourrin » comme tu dis est exténuant. La question au fond est aussi de se demander si la souffrance ressentie est « vraie », c’est ç dire est elle une réalité corporelle ou cérébrale (au sens d’atteinte neuronale par ex.) ou une somatisation d’un mal être psychique qui profite de la situation pour se placer là où ça fait mal.

          J’aime

        2. J’ai des douleurs installées depuis 20 ans et chronique quasi intraitable par voie médicamenteuse (celles là je le sais depuis une dizaine d’années) elles sont autogénérés par le système nerveux mais y’a aussi des neuropathies de compression/décompression et une atteinte inflammatoire osseuse qui elles sont traitables aux opioides + chirurgie vertébrale. (Mais j’ai peur des médocs donc j’ai mal… c’est un cercle vicieux).
          Ça ne coûte rien d’explorer le versant somatique de toute façon, on doit tous somatiser un peu je pense. Et si c’est le cas ça crée des contraintes supplémentaires sur des zones déjà en souffrance.

          Et puis il va bien falloir de toute façon rebrancher Neurone et Carcasse pour aller mieux.

          J’aime

  46. bonsoir
    je m’interroge sur la faille narcissique; qu’est-ce que c’est et peut-on la « guérir »?
    belle nuit

    J’aime

  47. Bonjour,
    « Les dynamiques de l’attachement désorganisé dans l’évaluation des phobies liées à l’attachement lors de la psychothérapie des patients traumatisés de manière chronique. » (phobie de l’attachement et phobie de la perte d’attachement de son thérapeute chez les patients traumatisés)
    Onno van den Hart dans son livre « le soi hanté » parle de la phobie de l attachement envers son thérapeute chez les personnes ayant vécu des traumatismes chronique dans l’enfance, mais c’est super technique et difficile a comprendre qd on à pas de base de psycho, alors p-e un petit article simplifié?

    J’aime

    1. Je peux. Mais il part d un postulat avec lequel je ne suis pas d accord, le fait que ns ayons tous besoin de contact avec les autres, ce qui lui fait lire la théorie de Bowlby sous cet angle… mais je peux parler de la théorie de l attachement et glisser un mot sur ces théories.

      Aimé par 1 personne

  48. Bonjour…
    Moi je me demandais si vous pourriez voir le film « Sibyl » (si ce n’est pas encore fait :-)) et faire un article sur l’analyse psychologique des personnages et plus particulièrement de Sibyl, la psy…
    D’habitude je comprends les films psychologiques mais là j’étais perdue lol…. Enfin si le film vous plaît bien sur ! 🙂

    J’aime

      1. Mdrrr je comprends bien ouii ! Ok…. Je comprends ce que vous dites car j’ai trouvé que l’actrice qui jouait le rôle de la psy le faisait hyper bien, si bien que je voyais exactement ma psy et ses réactions… Du coup je me disais aussi que ça doit faire bizarre pour un psy français de voir ce film !

        J’aime

        1. Il y a une tendance ds les films en ce moment à vouloir placer le psy au centre, comme si ce métier etait qqchose de mysterieux ou comme si… le réalisateur n avait pas réglé son transfert avec son psy. Lol

          J’aime

  49. Bonjour,
    Dans les idées d’articles, je vois tout en haut « la mort ». Dans notre société où celle-ci est quand même bien cachée, je me pose la question de l »intérêt » de voir le mort. Quel rôle / impact pour « gérer l’après » peu avoir le fait de voir ou non le mort ?
    Merci

    J’aime

  50. Bonsoir,
    Je me pose des questions sur l’empathie et la compassion. Je n’ai pas vu sur votre blog d’article sur ce sujet à proprement parler (je me trompe peut-être ? Votre blog a déjà tellement d’articles) et je ne vois pas où poster ce commentaire si ce n’est ici. Je me demande comment il est possible pour un psy d’être à l’écoute de son patient sans se laisser « envahir » par les émotions de celui-ci (et sans subir le mal-être de l’autre après coup). Etant donné qu’un psy ne peut pas être insensible non plus. J’avais lu qu’on différencie compassion et empathie. Pourriez-vous développer ça ?

    J’aime

    1. Hola, il y a un m3lange de notions. Ce que ressent le psy n est pas de l empathie ou de la compassion,mais du contre transferr. Il y a un article sur le sujet. Si le psy compatissait il ne serait plus dans son rôle.

      J’aime

  51. Ok. Alors j’ai mal formulé ma question. Et j’ai mélangé les notions. Ma question portait bien là-dessus : comment le psy réussit-il à ne pas être trop dans l’émotion, à garder une distance suffisante ? Parce qu’en lisant vos articles et en connaissant une personne qui a vécu un viol (et qui m’a partiellement raconté la chose, là où j’ai dû l’interrompre dans son récit car je sentais que je ne pourrais pas entendre la suite), je me demande comment il est possible de rester objectif, de conserver une distance sans se laisser submerger (et sans à l’inverse se « blinder » et devenir hermétique aux émotions).

    J’aime

    1. Comme le chirurgien qui tranche… dans un morceau de viande et pas ds un humain. C est la vie de la personne en face pas celle du psy le psy n est pas concerné et ne se met pas a la olace de son patient. Il n y a pas blindage (le blindage serait une couche de protection qui limiterait la permeabilité) mais glissage, bof quoi.

      J’aime

  52. Merci pour la réponse. Je comprends même si personnellement j’ai du mal à concevoir de ne pas me mettre à la place des autres. Même couper de la viande parfois ça me fait mal pour l’animal x) chirurgien, pas une carrière pour moi lol

    Et, encore une question, : les psys hypersensibles arrivent à gérer ça aussi ? Ou leir sensibilité est gérable s’ils parviennent à travailler sur le fait de ne pas se mettre à la place des autres ?

    J’aime

  53. Je croyais qu’il y avait beaucoup de psys surdoués ? 🙂 je suis presque sûre d’avoir lu ça quelque part sur votre blog.
    un surdoué n’est-il pas hypersensible ?

    J’aime

      1. Mais si un psy sensible est à fuir, un psy trop froid et pour qui on sent bien qu’on est un numéro , c’est pas agréable non plus.
        Je ne sais pas si je rentre dans un méga transfert négatif, mais il me tape bien sur le système mon psy. j’ai qu’une envie c’est de pas aller au rdv suivant, juste pour l’ennuyer ( Bon je ne le ferais pas, je sais que ca sert a rien, c’est puéril et en plus je vais devoir payer la séance manquée lol )
        je me suis sentie un peu bizarre le premier jour après la dernière séance, je ne savais pas trop ce qui se passait en moi, mais ca se transforme de plus en plus en énervement. Il ne retient pas certaine choses importante sur moi. La mémoire c’est pas son point fort je crois. Ou bien il s’en fou, et ca me blesse. Surtout que c’est fréquent, et des choses de la semaines précédente. Alors il répond que si il ne note pas, il oublie. Même mon médecin traitant qui me voit moins souvent n’a pas besoin de relire tout mon dossier pour se rappeler des points important sur moi. Je sais que son cabinet marche bien, il voit environs 50 patients semaines, je peux comprendre qu’il doit s’y retrouver dans tout ca, mais bon moi ca m’énerve. En plus j’avais l’impression qu’il allait s’endormir en séance. C’est vrai que je ne suis pas la patiente la plus intéressante et la plus dynamique, je ne parle pas bcp, il faut continuellement qu’il me tire. Mais si je dois apprendre à m’ouvrir, j’ai pas envie de devoir le faire pour lui, pour qu’il ne s’endorme pas ou pour que je sente un minimum d’intérêt.
        En plus, il m’a fait qqs réflexions, j’ai l’impression qu’il se fouttait de moi. ou il a un humour qui n’est pas le mien. Je ne sais pas si je suis objective et si c’est pas des projections. j’ai pas compris au moment même, mais qd j’y repense ca me blesse.
        En plus, j’ai des exercices à faire. J’ai arrêté de les faire. Ce sont des exercices sur les ressentis émotionnel, je me suis mise à être tout le tps en alerte et en hypervigilance vis à vis de mes ressentis, c’est pas franchement agréable. Je ne sais plus voir la couleur de mon carnet de note, je l’ai tapper ds un coin pour plus le voir et je ressent comme un rejet de moi même suite à ses exercices.
        Pourtant tout se passait bien, je me sentais bien en thérapie avec lui, je trouvais que j’avançais bien, que j’étais bien centré sur moi pour travailler. je trouvais qu’il me comprenait, j’étais contente d’avoir trouvé un psy qui me convenait. Mais là tout à basculer. Il m’énerve et j’ai un gros rejet de lui, et je me sent blessée. J’ai même un rejet de moi même.
        Il y a des patients qui ont des vécus très lourd, et qui sont très fragiles et pour qui un peu d’empathie ne fait pas du tort. Alors les psy boucher sur qui tout glisse c’est peut être bien, mais on est qd même des êtres humain. Non?
        Bref, je suis fâchée sur mon psy. lol

        J’aime

        1. Alors dans l’ordre :
          . il existe un milieu entre psy hypersensible et psy froid. Etre binaire est un processus rigide.
          – ton psy t’énerves ? dis le lui !
          – il ne retient pas ce qui est important pour toi ? En vertu de quoi ce qui est important pour toi est ce qui est important pour toi réellement ? Tu peux penser que quelque chose n’est pas important alors que ça l’est de même tu peux attribuer de la valeur à certains faits alors qu’ils en ont peu. Ceci dit tu devrais lui en parler.
          – il s’en fout que tu sois intéressante ou pas. Ca c’est du transfert et une mauvaise estime de toi.
          – il te fait une réflexion qui te blesse et tu le dis pas !?!?
          – les exercices sont là pour toi. Tu les fais pas tant pis… pour toi. Maintenant il faut t’interroger sur pourquoi a te met dans cet état.
          – bref, t’était contente d’avoir trouvé un « bon parent » qui te soutenait, t’écoutait, qui te comprenait…. Transfert, transfert…
          – tu viens chercher de l’affection et il ne t’en donne pas. oui tu es un être humain, mais tu n’es ni sa soeur, ni une copine, ni une amie, tu es ce sur quoi il travaille. Un cerveau posé sur un canapé.

          J’aime

        2. Et cette neutralité, cette certaine rigidité, c’est censé nous faire avancer?
          Pcq perso, si je consulte un médecin, un kiné, ou autre, et si je sent qu’il est froid comme une armoire à glace, je passe mon chemin et je vais vers qqu d’autre. Sauf si vraiment j’ai un gros problème et qu’il a des compétences et une reconnaissance professionnel importante, là je m’en fou, tant que je peux profiter de ses compétences. Mais c’est pas agréable. Alors oui j’ai surement manqué de bons parents que je recherche encore partout.
          Donc si j’étais contente d’avoir trouvé un » bon parent » via le transfert. Le but et de me montrer qu’il n’est pas un bon parent, que j’ai pas à demander ce que je n’ai pas eu? Je ne lui demande pas non plus de ma prendre la main et de me caresser la joue en me disant c’est bien mon enfant… lol
          C’est comme boire une tasse de café dans un gobelet pourri. Au final c’est suffisant, ce qui compte c’est de boire et de s’hydrater, mais c’est tellement plus agréable dans une bonne tasse avec des petits gâteaux!

          J’aime

        3. Oui mais il vaut mieux un bon café ds un gobelet moche qu un mauvais café caché ds une tasse en porcelaine. Entre competence froide et incompétence sympa va falloir choisir. Et ce sera moins compliqué dès que ce sera moins binaire.
          D ailleurs d où pars tu du principe qu un psy qui n est pas sensible à son patient est froid ou pas sympa ?

          J’aime

        4. oui c’est vrai que c’est ce que j’imagine. Si le psy serait insensible, il serait froid et pas sympa d »après moi. Maintenant il pourrait très bien être hypersensible et justement être froid et pas sympa aussi. J’ai des idées très préconçue comme ca. lol
          J’espère du coup que je vais évoluer et être moins binaire comme vous dites.
          J’ai jamais vraiment bien compris cette neutralité du psy, ou plutôt la neutralité du patient qui ne peut pas prendre son psy pour sa mére, son pére ou autre. Le patient il se doit d’être neutre aussi dans l’histoire? Pcq c’est qd même plus facile d’avancer en thérapie qd on aime bien son psy je suppose. lol
          Ma précédente psy m’a dit un jour que je savais très bien me débrouiller seule, j’avais pas envie d’aide, que je restais fermée vis à vis d’elle et que je ne l’investissais pas. Du coup je me dis que je devrais p-e me laisser aller a ressentir des choses, mais il y a cette neutralité a avoir et on ne peut pas en demander a son psy, il faut faire son travail soi même. Je suis vraiment perdue.
          En faite je suis p-e trop binaire et je ne sais pas comment faire je crois, du coup je bloque et contrôle tout.
          Donc finalement, on peut ressentir des choses vis à vis de son psy, ou pas ? Pcq alors on risque de les prendre pour notre père ou notre mère, de rechercher ce qu’on a pas eu?. C’est normal ou pas du coup d’avoir des ressentis ou le mieux est de se centrer sur sois ?

          J’aime

        5. Ohlala Lune tu mémanges tout. Le patient PREND son psy pour un parent. Il faut, il doit. Le transfert est absolument necessaire pour avanacer parce que le patient doit soit rejouer ses relations à ses parents soit prendre son psy pour un « bon » ou « mauvais » parent afin que puiisent être interprété ce qui se joue. Si je fis à un patient que je ne suis ni sa mère ni son amie c est à un moment parce qu il doit se rendre comptr de ce qu il jour avec le psy.
          Et le patient n AIME pas son psy. Il l apprécie (enfin j espère) comme le psy apprécie son patient.
          Cette histoire d amour et de confusion des différents niveau d affection semblent au centre de ta relation a ton psy.

          J’aime

        6. Vous imaginez pas comme j’ai été touchée de lire que le patient avait le droit d’investir son psy, de rejouer des choses, de pouvoir ressentir des choses. J’ai dû me retenir d’avoir les larmes aux yeux.
          Il se passe des choses en moi vis à vis de mon psy, je vois un peu près d’où ça vient ( je réfléchi un peu trop donc ça m’embrouille et j’ai pas confiance en moi pour valider mes idees) mais j’ai peur que ce soit trop fort si je me laisse aller.
          je ne laisse rien transparaître en sceance. Je contrôle TOUT. Surtout rien laisser transparaître au psy. J’ai pas le droit, c’est mal.
          D’ailleurs, qd je ressens qqch, qd j’ai l’impression de rejouer qqch, des fois je rassemble mon courage pour pas le montrer et le cacher. Je le fais limite exprès , je me ment même a moi même comme ça. Je vais pas avancer. Mais je crois que j’ai peur que se soit trop fort, et je ne sais pas comment faire.
          Puis ya des fois où le psy, l’air de rien, me sort lui même des choses que je cache sans que je l’ai dis. Lol
          Oui, ce problème de confusion et de niveau d’affection je l’ai fort, je l’ai aussi ds ma vie avec mon fils et mon mari. Je crois savoir d’où ça vient p-e, je le sais depuis que je le rejoue en thérapie, j’ai pu faire des liens. Mais tjs toute seule, sans en parler au psy. j’essaye de m’accrocher et je met bcp d’énergie et d’investissement et d’espoir ds cette thérapie et ce travail sur moi. Je ne met p-e pas mon énergie au bon endroit ? …

          J’aime

        7. Tu l’as très bien écrit, si tu n’investit pas ton psy, si tu ne rejoues pas, si le transfert ne se fait pas, tu ne peux pas avancer car ton psy ne dispose d’aucun matériel te concernant.
          Il faut TOUT dire sans honte, sans peur du jugement, sans se demander si c’est important ou pas, sans se demander si ça va plaire au psy ou pas.

          J’aime

  54. Bonsoir ,
    J’ai était abusée par ma mère très longtemps . Je culpabilise beaucoup des que je ne la vois pas . J essaie de me dire que c est mal mais rien y fait .
    J ai aussi beaucoup de trous noirs et je ss souvent la tête dans les nuages .
    J ai essayer de mettre fin a mes jours plusieurs fois depuis mon adolescence parce que je trouve insupportable de savoir qu elle me manque .
    J aimerais tellement trouver une solution pour mettre fin a cette situation intenable .
    J aimerais ressentir des émotions car je n en ai pas me concernant alors que pour les autres c est un océan de larmes qui coulent .
    Qu est ce qui ne va pas chez moi ?

    J’aime

    1. Yphis, je crois que tout ton email explique ce qui ne va pas. Abus, jugement moral sur toit même, culpabilité, emoussement émotionnel… merci à toi de venir ici mais qu est ce qui fait que tu ne consultes pas un professionnel ?

      J’aime

  55. Bonjour,
    Je souhaite proposer un sujet d’article. Chaque année 100000 animaux sont abandonnés. Un tel chiffre laisse supposer que l’acte d’abandon est un acte courant, réalisé par monsieur et madame tout le monde.
    pourtant j’ai l’impression que justement tout le monde ne peut pas etre en capacité d’abandonner un animal, que pour faire cela il faut être assez dénué de sensibilité, de honte, de culpabilité et d’education, non ?
    Comment comprendre et expliquer autant d’abandon ? il y aurait autant de personnes qui manqueraient de consideration pour la vie animale dans notre société ? (beaucoup d’animaux ne survivent pas à l’abandon).
    j’ai du mal a me representer que tant de personnes puissent etre capable de faire cela.
    merci.

    J’aime

    1. J oserai ecrire que c est peu. Je n ose imaginer le nbre d animaux maltraités par des gens qui n osent pas les abandonner mais n en veulent plus. Et c est un point qui, à titre perso, ne me paraît pas pris en compte. Si une personne qui ne veut plus de son animal ne plus plus l abandonner ds une structure -ne serait ce que parce qu on le stigmatise- quel va être le devenir de cet animal dont on ne veut plus et qui gène ?
      Il faut être réaliste Lau, des milliers d enfznts sonr victimes dr maltraitances physiques, psy ou sexuelles chaque année en France, alors comment veux tu que des personnes qui peuvent maltraiter un enfant aient de la considération pr un animal totalement dépendant et qui ne peut rien dire ? Il y a un lien entre maltraitances animale/infantile.

      J’aime

  56. Est-ce qu’un parent/membre de la famille incestueux se rend compte de ce qu’il fait ? Est-ce qu’il a le choix de passer à l’acte ou non ? Est ce qu’il peut oublier ce qu’il a fait ? Comment l’aider à se soigner s’il nie tout en bloc ?

    J’aime

    1. Oui il sait ce qu il fait d autant qu en général il s en cache, c est bien parce qu il sait que cela ne doit pas être.
      Non il n a pas tjrs le choix si on parle purement psychologie. Nous sommes guidés par nos pulsions, un inidividu normal peut avoir des pulsions pedophiles ou incestieuses mais il saura se restreindre ou faire appel a son surmoi. Lorsque c est impossible, lorsque l incestueux passe a l acte alors qu il sait que c est un interdit, il se laisse déborder par une pathologie. Ca ne lui enlève en rien son statut d agresseur.
      Un agresseur n oublie jamais ce qu il a fait. On ne force pas les gens a se soigner. Le but n est pas d aider l agresseur mais la victime. On s en fout que l agresseur nie, la victime sait et subit encore et encore.

      J’aime

  57. Bonjour,

    J’ai une petite idée d’article en lien avec l’actualité: l’analyse psy de Greta Thunberg. Au delà de son discours cette adolescente me questionne. En la voyant dans les médias je n’ai pu m’empêcher de penser que cette jeune fille avait un fonctionnement psychologique très particulier, d’ailleurs j’ai fait le parallèle avec le livre « Jésus était-il fou » dont vous avez fait un article il y a quelque temps avec ici sa vision de l’écologie qu’elle cherche à imposer. On pourrait presque lui coller l’analyse psychologique et psychiatrique de Jésus… Elle a un petit côté dictateur Greta et même si j’adhère aux idées qu’elle défend j’ai un peu de mal avec ce type de personne qui estime que leur point de vue doit être universellement partagé. Je viens d’apprendre en outre qu’elle souffre d’autisme, ceci explique peut-être cela, en tout cas pour l’obsession climatique, un peu moins le côté gourou, il n’y a pas que ça non (megaparanoïa pour faire référence au livre)?

    Au plaisir de vous lire 🙂

    J’aime

    1. Greta Thunberg est autiste Asperger. Donc je peux imaginer qu’elle a au moins un domaine de prédilection qu’elle « travaille » a fond. Ici ce serait l’écologie. Ce qui me tracasse plus c ‘est que comme tout autiste les relations sociales sont compliquées, il y a incompétence dans l’interprétation des reactions de l’autres, incompréhension des double sens… Bref, les capacités relationnelles sont faibles. Donc être trimballée devant des parterres de journalistes, de députés, de congressistes… doit être générateur de grosses angoisses internes. On a vu sur quelques vidéos comment elle était parfois en souffrance et épuisée.
      Faut il s’interroger sur le personnage ou sur ceux qui la poussent ? Qu’est ce qui motive les parents ? Les sponsors ? Qu’est ce qui fait qu’on lui accord tant d’intérêt (y a pas qu’elle qui fait de l’écologie…) et pourquoi on la médiatise tant ? Quels intérêts sert elle (contre son gré sans doute) ?
      On peut aussi se demander si elle a bien accès à toutes les infos, car elle peut avoir tendance à ne rechercher que celles qui vont dans son sens. Il y a pourtant des théories scientifiques qui aujourd’hui expliquent que ns entrons dans une période de réchauffement climatique « classique » avant toute période de glaciation, glaciation attendue dans 10 à 20 000 ans (ce qui n’est rien à l’échelle cosmique). On peut aussi se demander pourquoi tellement vouloir sauver l’espèce humaine ? Sauver la Terre ne sert à rien puisqu’elle va disparaître de toute façon…
      Mais comme dans toute religion ou secte, le gourou n’existe que parce qu’on lui accorde de l’intérêt, qu’on le croit et qu’on le suit… volontairement.

      J’aime

      1. Merci beaucoup pour votre réponse! Je vous rejoins totalement sur la question de l’espèce humaine à sauver, c’est une conception très anthropocentriste de la vie sur Terre (conception pas vraiment assumée) selon moi ou vouloir garantir la survie de son espèce sur fond de protection de la nature.
        Concernant les parents, sont-ils motivés par la célébrité de leur fille, qui plus est différente (autiste Asperger) et donc par une revanche sur ce diagnostic? Je suppose que lorsque l’on apprend que son enfant est atteinte de troubles autistiques, qu’on l’a voit souffrir pendant des années du fait des relations sociales compliquées et qu’on s’imagine que le futur le sera tout autant sans la « protection parentale », voir qu’elle peut porter les foules avec son message et rencontrer les décideurs de ce monde est une satisfaction personnelle forte. Peut se poser aussi la question de la souffrance dans cette famille qui s’est sûrement sur-adaptée aux troubles de leur fille, sa médiatisation extrême venant alors légitimer tous leurs efforts d’adaptation.

        J’aime

        1. On est à la limite de la maltraitance et de l’abus de faiblesse.
          Elle croit en ce qu’elle raconte elle a 16 ans, des idéaux et un syndrome d’asperger. Est-elle vraiment à sa place devant la foule les projecteurs et les caméras? C’est ultra violent en terme d’éclairage, de bruits, de nombres d’interlocuteurs. Les parents ont-ils le droit de la pousser/encourager dans des situations ultra stressante et potentiellement néfaste?
          Je m’interroge vraiment sur les parents…

          J’aime

        2. bonsoir, je suis contente de lire vos analyses car j’étais et suis encore mal à l’aise devant ce phénomène (j’emploie le mot volontairement), quand cette jeune fille dit : « vous avez volé mon enfance », je me suis demandé de quelle enfance elle parlait? celle qu’elle a eu? eh bien, bien nourrie, chouchoutée, aimée, soignée, de l’affection, une scolarité sans parler des innombrables joujoux qu’elle a eus…
          belle soirée

          J’aime

  58. Et je doute qu’ils aient à un moment sérieusement envisagé qu’elle puisse être temporairement ou durablement affectée par cette expérience au point de ne pas être en mesure d’affronter la suite… (enfin j’espère sincèrement parce que s’ils l’ont envisagé et qu’elle est quand même sur scène au bord de l’épuisement…)

    Son adolescence est volée/envolée c’est une évidence. Son enfance peut être aussi, le climat est son cheval de bataille aujourd’hui mais d’où vient-il? Elle n’a peut être entendu parler que de ça toute son enfance. Et la la phrase vous m’avez volé mon enfance prend ainsi tout son sens (son entourage faisant ainsi parti du package…)
    Tu peux avoir un confort matériel et ne pas avoir d’enfance pour autant. C’est son ressenti il faudrait pouvoir savoir ce qu’elle met réellement derrière ses quelques mots percutant repris ad nauseam par les médias.

    J’aime

    1. quand elle dit: vous avez volé mon enfance, j’avais compris qu’elle s’adressait aux pollueurs, aux gens qui ne font pas attention à l’écologie etc comme s’ils lui avaient volé son air pur, la nature etc; je ne pense pas qu’elle s’adresse à ses parents qui ont du lui parler non-stop de l’écologie, de la pollution , de la disparition de l’espèce humaine et j’en passe; donc ce sont sa famille et ses parents qui la lui ont volé au final, de lui insuffler l’angoisse de la disparition des humains et autres
      un de mes collègues m’a dit : elle est le futur Gandhi, sans commentaire

      J’aime

  59. Bonjour Vergi

    Je pensais à un article sur le trouble de la personnalité histrionique , comment vivre sereinement sa vie de couple en étant soi même histrionique 🙂

    voilou 🙂

    Lolo

    J’aime

  60. Je n’ai rien trouvé sur le blog sur l’anxiété d’anticipation. Peux tu m’en dire quelques choses? Peut être à travers des exemple.

    J’aime

  61. Bonsoir Vergi,

    Pourriez-vous faire un article sur les types de personnalité qu’on retrouve dans les télé-réalités (types « Les anges etc » ?

    Une autre idée 🙂 On voit de plus en plus de chaînes YouTube tenues par des parents qui mettent en scène les enfants (Swan et Néo notamment). Je m’interroge beaucoup sur les conséquences de tout cela chez les enfants et sur comment ces parents investissent leurs enfants.

    Bonne année !

    Aude

    J’aime

    1. Alors Audette je vais avoir un gros problème pr répondre a ta demande. Je ne regarde rien de tout cela. Je sais que ca existe mais je n ai JAMAIS regardé 1 episode des « anges », des « marseillais »… pas plus que je ne regarde chaîne Youtube…
      La seule chose que je peux dire, parce que je connais l’envers du décor sur la téléréalité (l intérêt d avoir des patients qui travaillent à la telé) c est que je sais que tout y est mis en scène, non ils ne s’engueulent pas pr de vrai, il y a un scénario et les participants sont choisis pr leur personnalité fragile et exhibitionniste.

      J’aime

      1. Je ne regarde pas non plus, mais mes soeurs si. Il m’arrive parfois de regarder quelques minutes, pour comprendre tout ce qui se joue. Je m’interroge aussi sur les conséquences de ces programmes sur les jeunes, ou moins jeunes, qui regardent uniquement cela ou presque.

        J’aime

  62. Bonjour Vergi,
    j’entends de plus en plus d’amies qui consultent des kynesiologues. J’ai moi-même consulté une osthéo pour des problèmes de cervicales et celle-ci s’est interessée à des points plus émotionnels finalement. Alors je me pose la question: kynesiologue, osthéopathe, psychologue… qui faut-il consulter? je t’avoue qu’à force de voir des psy parfois je me demande à quoi va bien pouvoir me servir de raconter encore le déroulé de ma vie et mes problèmes quotidiens. La séance en 45mn passe vite et j’ai juste l’impression de raconter ce qui m’est arrivé dans la semaine sans parvenir à véritablement mieux vivre. Alors une recette miracle type kynesio ou ostheo peut-elle marcher?
    Bonne année!
    merci Vergi

    J’aime

    1. « a force de voir des psys »… Mais combien en as tu vu ? et pourquoi tant ? Si tu as l’impression de raconter ce qui est arrivée dans ta semaine c’est que c’est ce que tu racontes. Mais pourquoi parles tu de cela et pas d’autre chose ? Le psy fait avec le matériel qu’on lui donne. Ceci dit comme je le dis à mes patients, lorsque vs me parlez de votre travail vous me parlez de vous aussi et lorsque vous me parlez de vos collègues vs me parlez de votre vision de vos collègues. Quelque soit le sujet tu parles toujours de toi, maintenant le but est de comprendre pourquoi tu ne parles pas de choses plus approfondies ou qu’est ce que tu peux apprendre de toi au travers de ton récit.

      J’aime

  63. parce que j’ai commencé par en voir une qui m’a recommandé d’aller vers une psychothérapeut spécialiste des thérapies brèves. puis finalement quelques mois plus tard j’ai consulté un autre pdy mais avec 1h30 de retard à chaque séance, j’ai fini par penser que je gachais mes vendredis soirs à attendre et ça devenait pour moi plus embêtant qu’autre chose. et comme j’en ai encore besoin et que je viens de déménager, je commence à en voir une autre. En espérant cette fois trouver la solution pour ne plus en avoir besoin. Mais à chaque séance je suis encore sous l’émotion de ce qui m’est arrivé dans la semaine et le temps que je raconte tout ça et qu’on échange là-dessus le temsp est passé. Je ne trouve pas inutile de parler de ça mais je me demande du coup ce qu’on va bien pouvoir faire pour régler ces obstacles que j’ai en moi et qui ne me permettent pas de vivre pleinement comme je le voudrais. Comment on va bien pouvoir les travailler puisque je ne sais même pas exactement comment en parler. A force d’avoir raconté mon histoire à chacun des psy (rien de grave comparé aux témoignages que je vois parfois sur le blog), je me sens un peu bêbête d’en être encore là.

    J’aime

    1. Alors un « simple » psychothérapeute n’est pas psychologue… Quant à 1h30 d’attente, inadmissible…
      Que de dévalorisation dans ton écrit, manque d’estime de soi, de confiance en soi… Et si tu commençais par là ?

      Aimé par 1 personne

    1. Salut Vergi,

      Un article sur l’utilisation de la culpabilité du conjoint adultère par l’autre conjoint pour maintenir le couple dans un rapport de pouvoir à son avantage. Plus généralement, le maintien du couple dans la toxicité.

      Merci

      J’aime

      1. Le conjoint adultère serait ds la culpabilité et ce serait lui qui dominerait l autre ? Hummm 🤔 En général c est plutôt le partenaire adultéré qui domine parce que justement il peut tjrs ramener l autre à sa « faute » et la lui reprocher. Donc si tu voulais bien me donner un exemple précis ou concret de ce qui tu mets ds le rapport de pouvoir dont tu parles ca m aiderait a mieux cerner la problématique.

        J’aime

        1. Bonjour Vergi,

          En effet, je me suis mal exprimé. Pour éviter les malentendus, je vais supposer une configuration (qui aurait pu tout aussi bien être l’inverse): femme adultérée / homme adultère. L’épouse bien qu’adultérée ne quitte pas son mari. Le mari bien qu’adultère ne quitte pas non plus sa femme. Le couple, certes déjà toxique, s’enfonce alors dans une relation où l’adultérée va trouver un avantage à tirer profit de la culpabilité de son mari. De son coté, le mari va s’efforcer de se racheter. Le deux finalement refusant avant tout de regarder la réalité en face et d’envisager une séparation.
          Un examen plus poussée de cette situation pourrait même laisser penser dans certains cas que la femme aurait favorisé l’adultère pour retrouver un schéma où elle va tenter de redresser les torts de son père. Et de son coté, le mari, idem, se placer en époux adultère repentant, cherchant à réparer le passé de ses parents. Les deux dans une quette de rédemption sado-maso.

          Ce type de dysfonctionnement se ramène t il à des mécanismes bien connus?

          J’aime

        2. En fait je ne comprend pas pourquoi l adultéré ou l adultère devrait envisager de quitter l autre… tour cela me semble plus relever de la morale que d une réalité psychique.
          Après ds cette situation, j ai rarement vu du chantage par l adultéré mais par contre des tentatives de rachat par celui qui a des relations sexuelles hors couple oui. Mais ils n ont pas a envisager une séparation. Ce n est pas parce qu on trompe l autre ou qu on est trompe qu on se quitte. Ce n est pas si grave, sauf si c est récurrent (et encore chacun sa conception de la base du couple).

          J’aime

  64. bonjour

    un article sur les rencontres via les réseaux sociaux, les applications, etc.?
    belle journée à tous et à toutes

    J’aime

  65. bonjour

    je me pose la question sur ces rencontres…j’ai une amie que je ne vois plus , qui a fait des tas de rencontres via meetic,… et qui me dressait toujours un portrait sublime de ces rencontres: les dîners, les sorties ensemble etc.et un jour je me suis retrouvée à penser que j’avais une vie bien routinière, pas fun, par rapport à tout ce qu’elle me racontait…
    je sais bien que je suis « responsable » car je la croyais mais je ne m’en étais pas rendu compte
    en tout cas, dès qu’un de tes articles paraîtra je me délecterai à le lire
    bonne fin de journée à toutes et à tous

    J’aime

  66. Un article lié à la polémique actuelle au sujet de Polanski.

    Peut-on, doit-on dissocier l’individu, de sa production artistique ou non. On sait que certaines anomalies comportementales, peuvent être de vrai atouts professionnels dans certains domaines.

    Qu’est ce qui ce passe dans la tête des gens extérieurs aux affaires judiciaires ou scandales? Dans celle de ceux qui dissocie l’individu de l’œuvre et ceux qui n’y arrive pas.

    J’aime

  67. Comment limiter les dégâts psy pour les familles.
    – Les enfants sont bouclés à la maison, les copains copines (enfin leurs parents ne les laissent pas sortir).
    – Faire l’école à la maison c’est pas simple
    – les parents se retrouvent aussi emprisonnés avec leur tendre progéniture un poil caractérielle du fait de l’enfermement.

    Comment on limite les dégâts pour les parents, les enfants, pour éviter les traumas et potentiellement les drames…

    Oui mon ado est furax, et les parents des copines pas vraiment rationnels.

    J’aime

  68. Je m’inquiétais des semaines de confinements à venir. Et pour illustrer l’inquiétude que ma maman ne semblait pas comprendre j’ai proposée ceci:
    Imagine-toi maman rester enfermé avec « la soeur » 6 semaines et devoir lui faire classe pendant sa période révolté.
    Si ma maman n’a pas répondu, « la soeur » elle a écrit : Je crois que je la démembre et je la passe dans le vide ordure ». c’était de l’humour noir.
    Je n’ose pas imaginer dans les foyers où les maltraitances sont déjà le lot quotidien ce qu’il va se passer. Aucune position de replis ou de soupape pour les agresseurs ou les victimes (vu qu’ils . Cela a t-il été anticipé? on parle partout de confinement pour sauver des vies mais qu’en est-il de ceux que le confinement va détruire. Dommage collatéral conscient et bourré sous le tapis, ou oublie de la part des décideurs?

    J’aime

    1. Il n y a pas de prise en compte des violences faites aux enfants ni de leur souffrance. Je l ai exprimé sous Twitter, certains enfants incestés ou maltraités vont être confinés avec leur bourreau pst des semaines…. l école pour beaucoup de ces situations était un échappatoire… c est une catastrophe pour eux.

      J’aime

      1. Les violences conjugales vont aussi exploser. Les gens vont picoler pour passer le temps (dixit ma voisine qui a stocker de quoi occuper les gosses et picoler le soir…)
        Enfin toutes les maltraitances en fait vont être exacerbées…
        Et probablement en générer de nouvelles…

        J’aime

  69. bonsoir,
    un sujet qui m’intéresserait serait le toucher. Je sais qu’il a un côté thérapeuthique, qu’il est essentiel aux bébés pour bien se développer, mais pourquoi peut il être si compliqué chez certains? Qu’est ce qui peut amener à ne plus accepter/supporter d’être touché.
    Un truc qui m’intrigue, c’est que ma psy actuelle fait super attention à la distance physique qu’elle met entre elle est moi, me laissant dans ma bulle. Pas de serrage de main, 0 contact.

    J’aime

  70. Bonjour, je viens de découvrir votre article et je suis sous le charme. Je souhaiterai avoir un article (si c’est possible) sur le comment du pourquoi, on est attachés aux personnes toxiques et aussi pourquoi on voudrait à tout prix plaire ou être valorisés aux yeux de certains.

    merci beaucoup.

    J’aime

  71. bonsoir
    j’espère que vous allez bien par ces temps particuliers, merci pour la proposition de Nina sur l’attachement aux personnes toxiques, comme je suis concernée j’ai un début de réponse avec la réponse de Vergi, je vous souhaite une belle soirée

    J’aime

  72. Bonjour Vergi,
    Accepteriez vous de faire un article sur Jonathann Daval ?? J’aimerais beaucoup avoir avis !! Sur sa personnalité… Et la personnalité caméléon notamment….
    Perso, je crois en sa version : l effet cocotte minute… Je crois que je suis aussi une personnalité caméléon dans la vraie vie c’est pourquoi cette affaire m’intéresse beaucoup (enfin je j’irais pas jusqu’à tuer non plus)…
    Et quand, les experts disent qu il a deux personnalités en lui, ils parlent de clivage c’est cela ?
    Merci à vous en espérant que l’idée de l’article puisse vous intéresser !

    J’aime

  73. Bonjour. Est-ce que tu regardes la série d’arte « en thérapie »? Je suis curieuse de ton avis sur la série.

    J’aime

    1. Bon j ai regardé le 1er épisode. J ai eu l impression de faire des heures sup… lol
      Ya plein de patient.e.s qui vont se reconnaître ds l attente de l Amour de leur psy… contre transfert non géré… 🤪
      En fait la vie des gens c est inintéressant au possible quand ce n est pas pour de vrai.

      Sérieux c est imbuvable… je n irai pas plus loin.

      J’aime

  74. Petite suggestion d’article : le psy de ma copine lui a parlé de dissonance cognitive et je ne vois aucun article sur ce sujet (ils n’apparaissent pas dans la barre de recherche en tout cas) …

    J’aime

  75. Bonjour,
    On va souvent voir le psy parce que l’on a été victime de violence, mais on parle rarement des personnes violentes qui veulent se soigner. Est-ce possible ? Si rare ? Faut-il avoir franchi l’irréparable pour être pris en charge, aidé ?
    Je pense que si cela existe et si c’est possible, il faudrait en parler.

    Un jeune homme d’une vingtaine d’années à eu un père très violent. Aujourd’hui il a lui-même des accès de violence quand il est « poussé à bout ». Il est allé voir un psychiatre qui lui a conseillé de sortir de la pièce quand cela lui arrivait, et ne semblait pas avoir envie de l’aider. Sauf qu’il ne contrôle pas ces accès, ne les voit pas arriver. Une psychologue l’a reçu pour lui dire qu’elle ne pourrait le revoir car elle cessait ses fonctions. Il souffre, il a fait des recherches et ne sait vers qui se tourner pour l’aider…

    J’aime

    1. Je vais être franche, l accueil des personnes violentes (hommes comme femmes) c était une de mes spécialités,mais il faut le constater je n ai jamais eu un seul patient qui soit rester au delà de 5 séances de psychothérapies. Dès qu on touche aux causes de leur violence ils ne continuent pas. Ils n arrivent pas a remettre en cause leur enfances, leurs parents, leur environnement… ca les met en colère, ils nient, sont ds le déni… et disparaissent. Ils ne peuvent s entendre violents ni victimes…

      J’aime

      1. C’est dur comme réponse. Qu’en est-il des personnes qui sont accompagnées après avoir commis des actes de violence ?
        N’y a t il rien à faire avant que ces actes n’atteignent un autre et non plus des « choses » ?

        J’aime

        1. Comme pr tout autre type de comportement : dès que tu forces les gens tnils n en font rien,ils n adhérent pas. Donc la plupart des personnes violentes accompagnées « de force » (par condamnation par ex) ne changeront pas ou au mieux changerons un peu. Ceux qui sont demandeurs ou qui adhèrent changent profondément.

          Ah la question de la pro action !! C est un vaste sujet en criminologie comment prévoir ? Comment prévenir ? L éducation reste le meilleur moyen , mais on n empêchera jamais la violence elle est intrinsèque.

          J’aime

  76. Bonjour Vergiberation, je ne savais pas où poster ce commentaire alors il est là… Si j’ai bien compris, en psychanalyse on dit qu’en dire trop, ne rien garder en soi est une difficulté à différencier le dedans et le dehors qui révèle une certaine confusion entre soi et l’autre. Serait-il possible d’avoir une explication vergiberation plus simple pour comprendre ? Belle journée

    J’aime

  77. Tout dire sans se créer de limites, « dévoiler » sans rien garder pour soi, peut être ne pas se mettre de frontière

    J’aime

  78. Bonjour, une idée d’article ou une question :
    quel rapport et/ou quelles différences entre addiction et compulsion de répétition ?
    Certes, dans l’addiction il y a l’idée d’une certaine dépendance physique et les compulsions plutôt d’ordre psychologique…
    J’ai fait un test pour l’arrêt du tabac et on me dit que ma dépendance à quasi totalement psychologique. Du coup pas de patch ou autre pour remédier à une dépendance « physique » (je fume depuis plus de 30 ans et c’est vrai que j’ai des tendances aux compulsions…)

    J’aime

  79. Un sujet qui me semble n’avoir jamais été abordé sur le blog.

    « Revoir son/sa psychologue après avoir arrêté sa thérapie.

    Dans l’idée, de se revoir en dehors dans la vie de tous les jours… J’aurais aimé savoir s’il vous ai déjà arrivé de revoir des patients après qu’ils ont arrêté, parce qu’ils vous ont fait la demande. Si vous continuez après régulièrement de vous parler, par textos, mails, téléphone et que vous vous rencontrez de temps à autre.
    Ou au contraire, que vous ne le faites pas.
    Vous conseilleriez ou pas ?
    J’expérimente cette situation et j’aurais aimé pouvoir en faire un retour, mais je ne vois pas d’article qui corresponde, pour que d’autres personnes comme moi puissent aussi poser leurs questionnements ou réagir. Et je suis certaine que beaucoup de personnes seraient intéressées par ce type de sujet. Et nulle part, on le voit abordé.

    J’aime

    1. Je comprends parce que sur le principe je pense que les psys ne rencontrent pas leurs patients après l approche thérapeutique. Comment dire ? D abord, par experience, dés qu on dit qu on est les gens ns racontent leur vie et leurs problèmes et je pense qu un ex patient essaierait mine de rien de s épancher auprés de son ex psy. Ensuite, j en ai parlé dans un article, le psy sait beaucoup de choses intimes sur son ex patient, plus que n importe qui. Ca fausse les relations. Le patient se méfie de ce que szit son psy et le psy sait tout de suite quand le patient ment ou qu il y a dissonance ds le discours de l ex patient. Je le vis en en croisant dans la rue, ils m évitent et les rares fois on ns sommes en intéractions la simple formule de politesse « vous allez bien » declenche chez le patient des reactions etranges. Lol.

      Le patient n a aucune raison de rester en contact avec son ex psy. On ne taillr pas la bavette avec son boulanger, son garagiste ou son toubib, même si au demeurant ils ont l air sympa.
      J ai déjà dit que je sais que dans la « vtaie vie », lol, certains de mes patients pourraient être des amis car ns avons des affinités, des vécus et même des goûts communs. Mais je ne pourrais m empêcher d analyser chaqie parole a la lumière de ce que je sais..

      Par contre, il arrive que bien des mois plis tard des personnes m envoient la photo de leur bébé, un sms pour me dire que maintenant ils vont bien. Mais ce sera u. sms ou une photo dans toute leur vie.

      Un patient qui me poserait cette demande je lui dirait qu il est encore dans le transfert

      J’aime

  80. Hello, j’ai découvert ton blog il y a 48h et le lis avec intérêt. C’est possible de rédiger un article sur les personnes qui apportent un  »doudou » (peluche ou objet fétiche) en séance ?

    Je fais partie de ces gens, j’apporte quelquefois ma petite peluche  »chez le psy. » Elle me régule et m’aide à entrer en contact avec ce que je ressens, à vrai dire je parle plus spontanément en la regardant.

    Ce serait intéressant d’avoir le point de vue de l’autre côté du miroir !

    J’aime

      1. Je l’ai traînée dans mon sac en secret pendant plus d’1 an, puis je l’ai présentée 3 fois en octobre/novembre. C’est une mini peluche que j’ai achetée après un violent traumatisme en 2018, et qui ne m’a pas lâchée d’une semelle pendant 18 mois.

        Je ne la trimballe plus au quotidien depuis 2020, le sevrage s’est fait sans réfléchir. Par contre chez le psy… beh c’était compliqué d’y aller sans jusqu’il n’y a pas longtemps, et ça fait quelques séances que je ne réfléchis plus à sa présence.

        Je pense que ce serait très intéressant d’en parler en séance.

        J’aime

  81. Une idée d’article ? Un transfert massif c’est quoi ? Pourquoi ? Je ne trouve rien sur le sujet ou juste à peine évoqué.
    Un jour mon psy m’a dit que je faisais un transfert massif. Quand j’ai compris que je n’arriverai pas à en sortir avec lui, « je l’ai quitté « .
    Deux ans plus tard ça va beaucoup mieux mais il est toujours là. Ça va mais il/ça me prend encore beaucoup d’énergie régulièrement. Est-ce qu’on s’en sort ? Pourquoi on y est entré ?

    J’aime

    1. Un transfert massif est un transfert. Point barre. Ca sous entendrait que tu l as totalement pris pour un parent.. Du classique quoi.
      Pourquoi on transfère ? Oh lala il faut que tu relises plein d articles sur ce blog.

      J’aime

      1. La question c’est pas tellement pourquoi on transfère mais pourquoi on fait un transfert massif. Quelle différence.
        Mais bon a priori tu n’en vois pas. Juste que je l’ai pris TOTALEMENT pour un parent.

        J’aime

  82. Idée d’article : comment faire comprendre des choses à un patient sans lui dire directement, pour que cela vienne de lui. Par exemple, comment faire comprendre à un patient qu’il entretient une relation toxique avec quelqu’un d’autre.

    J’aime

      1. J’ai un ami qui entretient je pense une relation toxique mais je suis sûr qu’un psy ne va pas lui dire directement donc je ne suis pas sûr que ce soit utile qu’il en voit un 🙂

        J’aime

        1. C est surtout que si lui ne pense pas que ça n en soit pas une ce n est pas à vous de le « sauver ». Il est adulte, il a fait ses choix.

          J’aime

  83. Anne a habité en Alsace. Maintenant Anne habite à Paris. Sophie (l’amie d’Alsace d’Anne) invitait Anne en Alsace pour le nouvel an les premières années où Anne est arrivé à Paris. Puis Sophie n’a plus invité Anne. Avec le COVId, Sophie créé un groupe WhatsApp (dans lequel elle met 10 amis environ dont Anne) pour « garder le lien », mets des photos de ses sorties en montagne ou dans un village mais n’invite toujours pas Anne. Est-ce malsain ? Un jour Anne s’énerve : merci pour ton groupe WhatsApp avec les photos des évènements auxquels on n’est jamais invités. Et là Sophie s’excuse : en mode on ne t’invitait pas car tu n’allais pas venir pour une après-midi de balade (car le train Paris-strasbourg c’est cher). Que pensez-vous de cette situation ? C’est une situation malsaine ou bien Anne voit le mal partout et rumine sans raison valable ?

    J’aime

      1. Sophie est celle qui organise le plus de choses et Sophie s’était invitée chez Anne avec son mari et ses deux enfants avant le covid. C’est aussi Sophie qui a créé le groupe WhatsApp avec les photos des sorties auxquels Anne n’est pas invitée.

        J’aime

  84. Ça ne peut pas être juste désagréable de recevoir des photos des évènements auxquels on n’est jamais invité ?

    J’aime

  85. Quand on est dans un groupe WhatsApp, on reçoit des messages sans rien demander. On peut quitter le groupe WhatsApp mais on se fait remarquer.

    J’aime

Répondre à vergiberation Annuler la réponse.