Célia, Marie et Pierre, des étudiant(e)s en classe de première ont réalisé cette année leur projet de TPE sur les violences conjugales faites aux hommes et ont eu la gentillesse de me le faire parvenir.
Je vous joins ce qu’ils ont réalisé car leur travail est joliment présenté mais surtout ils se sont investis dans ce sujet.
(oui il y a quelques fautes et je crois aussi qu’ils ont parfois « raccourcis » la pensée de l’interviewée, mais on peut sans problème les excuser)
Merci à eux pour ce travail. Vous cliquez sur le lien ci dessous :
VERGIBERATION 2 
C’est positif de voir ce sujet mis en lumière par la jeune génération! Bravo pour l’effort de recherches et le travail de mise en perspective !
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C’est une blague le coup de devoir arrêter les conférences à cause des féministes?Quel était le groupe féministe qui vous visez?
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Quand 30 à 50 personnes (majoritairement des femmes) qui se dèfinissent elles mêmes comme appartenant à une cellule fèministe/LGBT viennent chanter pendant les interventions, dire aux victimes qui racontent leur calvaire que c’est bien fait pour elle et pour tous les hommes, qu’elles attaquent physiquement les organisateurs et cela à chaque confèrence ou colloque obligeant a mettre fin à la réunion et que la police n’ose pas intervenir car ces groupes font venir les mèdias pour démontrer leur action contre ce qu’ils considèrent comme du masculinisme ou un « abject relent patriarcal », ça ne donne plus envie de continuer.
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Oh 😦
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HEllo à tous ….J’ai rencontré un homme qui a subit de graves violences psychologiques par sa mère. Il a coupé les ponts qu’à 25 ans.
Je me demandais si ćetait vraiment possible que cet homme soit « bien » avec une femme, en l’occurence Moi. Comment peut il avoir un regard généreux envers les femmes après avoir subit tout ça.
D’une manière générale, c’est un homme gentil et doux. Mais souvent, il devient distant et glacial. Comme s’il avait peur de me faire confiance, le lendemain d’un bon moment passé ensemble, d’un lâcher prise’ de sa part… Autre’ point, j’ai remarqué deux fois sur le plan intime qu’il y avait des courts’ moments (de’ l’ordre de qqs secondes) où il se montrait un peu violent et où je voyais un autre homme (satisfait de se montrer violent envers moi)…
Il a commencé une thérapie. Que dois je faire en attendant ? Et Quand quelqu’un entre en thérapie vaut il mieux qu’il soit seul, concrètement célibataire pour qu’il avance mieux et s’en consacre à ses blessures ?
Merci bien
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Qu on soit homme ou femme lorsqu ‘on est victime ne change rien… les victimes ont souvent des difficultès relationnelles avec les personnes de même genre que la personne qui les a violenté. Et en fonction du niveau de violence vécu il peut exister des dissociations de personnalité, dont une parfois viollente car en colère. Mais cela se contrôle car les victimes n aiment pas faire du mal aux autres, elles savent combien cela fait souffrir. Après le passé de victime ne justifie pas -jamais- le recours à la violence. La durée d une psychothérapie des victimes.est longue, avec des hauts et des bas. Etre seul ou en couple n a aucune importance… sauf pour celui/celle qui attend..
Maintenant je serais claire, une personne violente, méme ayant étè victime, est d abord une personne violente. C est inacceptable. Et en aucun cela ne doit étre accepté par le partenaire. Il ne faut pas minimiser. Pensez à vous.
Maintenant votre rôle sera de le soutenir, pas de l aider ni de le sauver car vous ne pourrez pas et ce n est pas le rôle d une compagne. Juste du soutien et de la communication. C est déjà énorme.
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